1. Vérifier le PLU (plan local d’urbanisme) et le POS (plan d’occupation des sols)
Ces documents, consultables auprès de la mairie, permettent d’estimer le prix de vente. Un terrain situé en zone U est immédiatement constructible : il se vendra beaucoup plus cher. Il est possible, par la même occasion, de récupérer un certificat d’urbanisme qui contient l’essentiel des renseignements utiles (servitude, raccordement aux réseaux d’eau et d’électricité…).
2. Réaliser une étude géotechnique du sol
Depuis le 1er octobre 2020, une étude des sols doit être fournie par le vendeur d’un terrain constructible.
3. Borner le terrain
Ce n’est pas obligatoire, mais vivement conseiller. Faire appel à un géomètre expert permet de délimiter précisément la superficie du terrain et d’assurer une garantie auprès de futur acquéreur.
4. Déterminer la valeur du terrain
Les notaires ou experts fonciers peuvent accompagner le vendeur dans cette étape. Le prix estimé variera en fonction des caractéristiques : superficie, orientation, viabilité, nature du sol, servitudes, environnement (école, commodités, parc…)
5. Mettre en vente
Une fois l’acheteur trouvé, il faudra rédiger un avant-contrat mentionnant les éléments contractuels du terrain (bornage, servitudes, descriptif du terrain…). La signature de l’acte de vente se réalise chez le notaire.